Circus Maximus n° 2
Un nouveau rival (Annelise Gray)
Circus Maximus n° 1
La course de ma vie (Annelise Gray)
Un de mes livres préférés, une série très prometteuse.
Perspective(s) (Laurent Binet)
Décrit comme un « polar historique épistolaire », le livre est original, intrigant au début pour se révéler d’une grande richesse : original dans la forme, car le lecteur est embarqué en Italie au XVI° siècle dans une enquête qui se suit et se construit au fil des lettres échangées entre tous les protagonistes, qu’ils soient à Florence, Rome ou en France ; intrigant, car les potentiels coupables sont nombreux et leurs relations complexes ; riche, car ces lettres rendent vivante toute une société, comme un grand paysage composite ; et au final, elles conduiront au point de convergence de tous les intérêts mis en jeu... selon les règles de la Perspective. Parfaitement construit !
Walt Longmire n° 12
Dry bones (Craig Johnson)
On retrouve toujours avec autant de plaisir Walk Longmire, et de nombreux personnages secondaires, avec en particulier la nation cheyenne. L'intrigue est quelconque, sans grand intérêt. C'est clairement l'interaction entre les personnages si attachants qui prime et l'on pourrait se passer du crime.
Harry Potter (Marie Renier)
Ce que je sais de toi (Éric Chacour)
Un premier roman qui fait preuve d'une maîtrise littéraire et stylistique. Nous sommes au Caire, en Égypte, dans les années 80, Tarek, jeune médecin aisé, aimant sa femme, ses patients, ses proches a un bel avenir tout tracé... Jusqu'à sa rencontre avec Ali. L'inattendu fait exploser la routine, met à mal toutes les certitudes, Tarek, tout en intériorité, est bousculé dans ses derniers retranchements à l'image de son pays déchiré entre ses réalités et ses idées. C'est avant tout un roman d'amour et de combat.
Harry Potter (J. K. Rowling)
Pour Harry Potter 3, il est mégas super trop cool.
J'ai hâte de le regarder en film.
Pour Charlie et la chocolaterie, il est aussi mégas super trop cool.
J'ai aussi hâte de le regarder en film.
Ca va être très bien.
La novia gitana (Carmen Mola)
Muy recomendable para los amantes del género y con buen estómago.
La légende des quatre n° 1
Le clan des loups (Cassandra O'Donnell)
Femmes sans merci (Camilla Läckberg)
Agréable à lire, intrigue bien menée. Un final réconfortant, petite vengeance féministe !
Veiller sur elle (Jean-Baptiste Andrea)
Jamais je n'ai relu une phrase d'un livre juste pour le plaisir. Là ça m'est arrivé des dizaines de fois. Une finesse d écriture, une histoire riche et atypique, un drame humain raconté avec touches d'humour et rebondissements inattendus : un livre qui se dévore avec plaisir.
Made in abyss n° 1 (Akihito Tsukushi)
Ce manga possède une histoire avec un lore approfondie et des personnages très travaillés. Cependant, je vous suggère de voir d'abords l'anime, qui possède des graphiques superbes, dignes de Hayao Miyazaki. Mais ne vous laissez pas avoir : si les dessins sont enfantins, l'anime reste un seinen, destiné à un public averti.
Bloom into you n° 1 (Nio Nakatani)
Très bonne série Shojo, ce livre possède une belle histoire d'amitié et d'amour.
Je le recommande vivement !
L'imagier des sens (Anne Crausaz)
Ce livre, destiné aux petits enfants, mérite le temps, posé, d'une lecture et d'une évocation partagées. L'autrice illustratrice amène ses lecteurs, tous âges confondus, à prendre conscience - ou à re-prendre conscience - des nombreuses sensations qui nous relient continuellement aux éléments naturels. Un livre simple et sensible servi par de délicates illustrations en pleine page.
Celle qui parle (Alicia Jaraba Abellán)
GÉNIAL !!
Pour moi tout y est, grande qualité du récit qui éclaire et enrichit, ainsi que du dessin : ambiances, couleurs...
Cette BD s'inspire d'une histoire vraie, à lire et relire au moins 2 fois pour ne rien rater !
Home (Eric Whitacre)
Bien fait certes, mais à part le dernier titre, je l'ai trouvé plutôt "plombant" au niveau émotionnel...
La chica de nieve (Javier Castillo)
Es una novela sencilla, hace muy fácil engancharse rápidamente. La trama principal es la desaparición de una niña pequeña y una joven periodista que hará lo imposible por dar con su paradero.
Surface (Olivier Norek)
Très bon policier avec du suspens jusqu'aux dernières pages.
Jefferson n° 1 (Jean-Claude Mourlevat)
Silo n° 2
Origines (Hugh Howey)
J'avais été intéressé par l'originalité de la proposition de Silo et son univers en dehors des codes. Ici, l'originalité a disparu puisque l'on connaît la fin, et ceci nous ramène à un récit ennuyeux. J'ai rapidement interrompu la lecture.
Walt Longmire n° 10
Steamboat (Craig Johnson)
Ce court récit doit être pris pour ce qu'il est : une nouvelle agréable sur le passé de Walt Longmire, facile à lire et à oublier. L'histoire n'est pas très crédible, mais agréable.
L'espoir sous nos semelles (Aurore Gomez)
Parents de haut vol- Chroniques d'une famille sur le TDAH et le HP (Marion Deschamps)
Voici un charmant inclassable...
C'est une BD, c'est aussi l'histoire d'une famille soudainement confrontée au TDAH (Trouble du Déficit de l'Attention avec ou sans Hyperactivité). On y suit avec jubilation les tribulations des Swan, amenés malgré eux à creuser le sujet...
el cuco de cristal (Javier Castillo)
Es una novela que engancha desde el principio al final.
Silo n° 1 (Hugh Howey)
J'étais circonspect du fait du succès commercial de ce roman, mais j'ai été agréablement surpris. L'auteur prit soin de patiemment installer son univers dans le silo avant que des évènements interviennent. La fin est prévisible, c'est dommage car les 3/4 initiaux du livre sont franchement créatifs et originaux.
Super-Bergère (Catherine Romat)
La littérature française pour les nuls (Jean-Joseph Julaud)
C'est une suite de résumés des livres, agrémentés d'extraits musicaux. Il y a aussi des extraits des textes originaux, assez courts.
Tout est raconté par la même lectrice.
Aux origines de l'orgue français (Quentin du Verdier)
La magie de l’orgue est de combiner des sonorités très diverses, douces, flûtées, ondoyantes ou éclatantes. C’est bien ce que Quentin Du Verdier, jeune organiste Français plusieurs fois primé, s’attache à faire valoir avec l’orgue de Champcueil dans un répertoire du 16° et 17° siècles franco-flamand. L’autre surprise est l’association chant et orgue, dans un jeu de réponses et de variations. Belle mise en valeur, donc, de la fantaisie d’oeuvres courtes mais très variées, moins connues que les grandes pièces de l’orgue classique et romantique.
Angelo (Jean Giono)
Ce roman a été commencé avant le hussard mais publié plus tard. On retrouve avec bonheur Angelo Pardi lors de son arrivée en Provence, et sa rencontre avec Pauline. L'écriture est toujours aussi puissante. Il ne faut pas s'attendre à une histoire, ce n'est ici que le récit d'un passage assez flou mais si bien écrit. L'absence de fin plaide bien en faveur d'un essai préalable au hussard. A ne pas manquer si vous avez aimé le chef d’œuvre, mais n'en attendez pas plus qu'un essai sur les personnages.
L'Attaque des titans n° 12 (Hajime Isayama)
Ticajou à Londres (Christelle Saquet)
Les enquêtes de Cormoran Strike n° 1
L'appel du coucou (Robert Galbraith)
Sous les vents de Neptune (Fred Vargas)
On retrouve avec grand plaisir Amdamsberg et son adjoint Danglard, et l'autrice met en scène le Lieutenant Retancourt haute en couleur. Le problème est que bien que les personnages soint toujours aussi attachants, l'intrigue est invraisemblable. J'aurais préféré ne pas avoir d'intrigue et suivre la vie de ces personnages si bien décrits et à la personnalité complexe.
Chronique du tueur de roi n° 1
Le nom du vent (Patrick Rothfuss)
Roman de fantasy classique à mi chemin entre le seigneur des anneaux et Harry Potter. Après avoir arrêté la lecture, je suis allé au bout de ce premier tome. Pas mauvais, un peu simpliste, facile à lire et à oublier.
Bonne idée de lecture pour des adolescents.
Le quatrième mur (Sorj Chalandon)
Ouvrir un roman de Sorj Chalandon évoque des sentiments contradictoires : le plaisir d'une narration exceptionnelle mêlée à une attente inquiète. Ce livre ne déroge pas à ce style, avec une approche magnifique de la mise en scène d'Antigone de Jean Anouilh dans un contexte de guerre civile, celle de la guerre du Liban ; une approche très lente, puis, au travers de phrases courtes, percutantes, l'irruption du conflit. L'espoir utopique théâtral est bien introduit, mais je ne dévoile pas les évènements auxquels on s'attend cependant quand on connait l'écrivain.
Un très grand roman. A lire absolument !
Le dernier sommeil de l'ourse (Sophie Jomain)
Livre joliment écrit sur la relation parfois difficile comme ici d'une mère et sa fille. Tout est dit de façon très pudique, sensible et tendre dans ce presque huit clos d'une contrée sauvage de l'Alaska. Cela m'a touchée au cœur. Chaque personnage vivant avec ses blessures, ses certitudes, avec ses propres filtres. Comme pour chacun d'entre nous. Un très beau moment lecture.
Économie du bien commun (Jean Tirole)
Ce livre traite "l'économie du bien commun" avec une grande ouverture d'esprit, sans parti pris politique, et avec pragmatisme.
Tous les sujets de notre époque sont évoqués, sachant qu'il est vital d'aborder aussi l'aspect "économique", afin d'améliorer la connaissance du lecteur(trice) à cette science un peu délaissée dans notre culture Française.
Enfin à travers cette lecture j'ai constaté que Jean Tirole est un homme polyvalent, économiste, ingénieur etc. Ce qui explique la richesse et la clarté de l'ouvrage.
Home (Eric Whitacre)
Mode d’emploi : se poser dans un lieu confortable ; écouter ; se laisser porter, emporter, transporter. Au fil d’harmonies douces, rayonnantes, parfois déroutantes, la musique de Eric Whitacre resplendit dans l’interprétation du désormais célèbre ensemble vocal britannique Voces8. Là où la profondeur d’un grand chœur aurait pu manquer, le raffinement des 8 voix toujours parfaitement ajustées créent une expérience unique, qui suspend le temps. A tenter !
Je me souviens de Falloujah (Feurat Alani)
Feurat Alani est français d'origine irakienne. Il est journaliste, grand reporter, lauréat du prix Albert Londres pour son livre Parfum d’Irak. Il revient avec son premier roman : Je me souviens de Falloujah qui s’inscrit dans la suite d’un long travail que l’auteur mène sur l’Irak depuis des années. C'est l'histoire d'un fils qui interroge son père. De son pays (l'Irak), qu'il avait fui pour trouver refuge en France, ce père n'avait transmis à son fils qu'une chose, son prénom, Euphrate, en hommage au fleuve au bord duquel le fils a grandi. Mais de son passé, Rami ne voulait rien dire. Pourtant, un jour, ce père ombrageux s'était confié à son fils.
Roman sur la mémoire familiale et l'asile politique en France d'un irakien en 1972.
Mission : Yozakura Family n° 9
Mission Yozakura Family (Hitsuji Gondaira)
Juste un coin de ciel bleu (Gilbert Bordes)
La rencontre improbable entre une gamine insupportable et un vieil aveugle bougon... ou comment allier superbement le monde âpre des adultes à l'univers féerique de l'enfance. Ses parents ne pouvant s'occuper d'elle, Clotilde, onze ans, se retrouve sous la garde de sa grand-mère, une femme cassante et aigrie.
L'homme à l'envers (Fred Vargas)
Je ne suis pas grand amateur de polars, et j'ai failli interrompre la lecture rapidement, mais j'ai été progressivement séduit par cette proposition. Sur une trame de roman policier pastoral se greffe un road trip atypique à type de conte poétique et rural. De nombreux personnages secondaires très attachants rendent la résolution des crimes presque secondaires car si on peut vite deviner le coupable, cela ne nuit pas à l'humour tendre du roman. Une belle réussite.
Je suis une légende (Richard Matheson)
Ce récit de science fiction post apocalyptique rédigé dans les années 50s a été adapté au cinéma (je n'ai pas vu le film). Il s'agit du récit d'un homme seul en lutte contre des vampires après une pandémie. Ce résumé ne m'avait pas vraiment donné envie de le lire, mais un peu par hasard, j'ai fini par le parcourir. Le récit est un peu daté, et les explications sur la genèse des vampires, bien que travaillées, mais ne tiennent pas la route pour un scientifique. L'auteur évite le roman 'gore' et l'intérêt réside principalement dans l'évolution psychologique du personnage principal, vraiment intéressante et sur sa vie au jour le jour. La chute est originale et explique le titre. Pas indispensable.
Le coup du fou (Alessandro Barbaglia)
Je viens de lire d´une traite "Le coup du fou".
Si vous ne connaissez rien aux Echecs et si les élucubrations psychanalytiques vous laissent pour le moins dubitatifs et si vous vous êtes ennuyés au collège en lisant Homère et si les hommes mûrs qui ne se remettent pas de n´avoir plus de père ne vous émeuvent décidemment pas... alors, peut-être devriez-vous ne pas ouvrir ce livre... Mais ce n´est même pas sûr ! Car en mêlant tous ces ingrédients apparemment disparates, le narrateur construit un récit magnifiquement émouvant, inattendu, à la fois intime et universel, historique et singulier, emboitant tous ces sujets de manière fluide, mélancolique, profondément humaine. Un régal.
La fascination (Cécile Guidot)
Un aller-retour entre l'ado qu'elle était et l'adulte qu'elle est devenue. Se chercher, se perdre, puis se retrouver par l'écriture. Un roman initiatique dans un style élégant.
L'Attaque des titans n° 12 (Hajime Isayama)
Cool bien que déconseillé aux enfant de moins de 11ans.
Sous le soleil de Soledad (Laurence Peyrin)
Avec Laurence Peyrin nous voyageons. On s'immerge dans des paysages et dans la vie de ses héroïnes à qui on repensera longtemps après avoir refermé le livre. Un très chouette moment de lecture qui vous donnera envie de vous laquer les ongles en bleu !
Falco n° 1
Falcó (Arturo Pérez-Reverte)
On est bien loin dans ce roman de la subtilité de la peau du tambour ou du maître d'escrime du même auteur, bien antérieurs. Dans ce roman policier parmi les récents de l'auteur, on retrouve son art de nous plonger dans une époque (ici la guerre civile espagnole). Cependant, les personnages sont caricaturaux. Le héros en particulier est macho, sans grande subtilité. On est à des années lumières d'Hemingway, dommage, l'auteur nous avait proposé de bien meilleurs ouvrages.
Niré (Aki Shimazaki)
L'autrice japonaise consacre ce 4ème volet au benjamin de la famille Niré, Nobuki. Il découvre les secrets de sa mère, Fujiko, en lisant le journal qu’elle a rédigé après avoir appris qu’elle souffrait de la maladie d’Alzheimer. Heureusement, le récit prend un tout autre tournant lorsque la parole de Fujiko se fait entendre exposant avec puissance les méandres capricieux d’une mémoire qui s’étiole, la volonté d’une femme qui ne veut plus se taire, l’urgence de révéler la vérité avant qu’il ne soit trop tard.